Les Chevaliers d'Émeraude
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Les Chevaliers d'Émeraude

Forum RPG sur la Saga d'Anne Robillard - Les Chevaliers d'Émeraude
 
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 Dyliam [.. Chevalier Première Génération ..]

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2 participants
AuteurMessage
Dyliam
Chevalier d'Émeraude 1ière génération
Dyliam


Messages : 119
Date d'inscription : 06/04/2009
Age : 34
Pouvoirs : Heumm .. Minute j'y pense! .. Et oui!

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MessageSujet: Dyliam [.. Chevalier Première Génération ..]   Dyliam [.. Chevalier Première Génération ..] EmptyLun 6 Avr - 20:34

    *Royaume :: Diamant
    *Prénom :: Dyliam
    Surnom :: Dyl
    *Âge :: 18 ans
    *Race :: Humaine

    - - - - - -

    *Physique :: Dyliam porte ses cheveux courts, ce qui lui donne un air espiègle. Son regard bleu/vert/gris tel l'océan et le brun foncé/noir de ses cheveux font son charme. Se jeune homme est plutôt grand et a une force musculaire qui lui est propre malgré son jeune âge. Les yeux en amandes et son visage parfois caché par une mèche lui donnent un air mystérieux qui est loin de lui déplaire. Dyl n’est pas de ceux qui sourient tout le temps pour rien du moins sur les champs de batailles. Hors ceux-ci, il est l'espièglerie incarner. Et avec Rowran, cela ne s'aide pas pour un pouce. Il gardera le visage impassible à moins de trouver la bêtise humaine amusante (lorsque le chef donne un ordre par exemple). Dyl porte deux bandes de tissu noir enrouler autour des ses deux poignets. Une manière à lui de se démarquer des autres.

    Signe Particulier :: Il est piqué (tatouer) sur les côtes du côté gauche

    *Psychologie :: Dyl n’a pas vraiment de caractère fixe. Il est comme la mer, imprévisible. Par contre, il y a une chose sur laquelle nous pouvons nous fixé : Sa solidarité. Comment pourrait-on décrire son caractère? Aussi changeant que la mer. Calme sous un beau jour, déchaîné sous un ciel de tempête. On ne peut décrire une personne aussi changeante. Pourtant, avec une certaine chance, on peut en percevoir une partie. Il a … comment dire …, plusieurs caractères. Il sait mettre son cœur à l’abri des coups durs, comme il peut l’avoir de glace face à l’ennemi. Il dit se qu’il a à dire sans avoir peur des répercutions. D’une certaine façon, c’est comme si rien ne le touchait. Il ne cherche jamais la bagarre pourtant, il a le don de provoquer, de toucher un point sensible qui fait exploser l’impulsion. Mais, il a aussi ses bons côtés. Il a se petit côté moqueur qu’il garde pour de rares occasions .. Non pas vraiment! Hors des combats, s'est le pire des farceur. Un esprit léger, le cœur à la fête. Par contre, il n’agira jamais sur un coup de tête. Un geste, une parole, tous a sa place. Loin d’être prompt, il pèsera les pours et les contres, les façons de réactions. Érudit, connaître est sa façon d’agir. La préparation d’une attaque demande énormément de patience et dans un certain sens, connaître sa victime demande du savoir. Rebel un peu sur les côtés. Par contre, il a l’esprit ouvert au reste du monde qui n’est pas inclus dans ses fantaisies. Au reste du monde de découvrir son caractère. Parfois connaître ne veut pas nécessairement la connaître.

    Pouvoirs Magiques :: Ceux des chevaliers d'Émeraude ainsi que l'auto-guérison (ne peut soigner que lui-même uniquement) et sait manipuler le vent.

    - - - - - -

    *Histoire ::
    Rencontre des parents
    L’idée de partir le répugnait, mais ne trouva pas d’autre solution. L’homme prit ces maigres effets pour les rangés dans un sac de toile, qu’il mit sur son épaule. Au moment d’ouvrir la porte, sa main trembla. Constant se tourna une dernière fois vers la pièce où il avait retrouvé morte sa femme. Le corps inerte de Jayma devenue aussi blanc que la neige de la vieille, le fit frissonner. L’illusion du sang de celle-ci refit surface. Pendant un court instant, il ferma les yeux. Mais, les ré ouvrirent aussitôt. La scène, tout lui revenait à l’esprit. Constant se fit violence. Sachant qu’il ne pouvait retourner dans le passé, fit demi-tour puis sortit finalement de la demeure.

    La blancheur hivernale, le froid, le cloua sur place. Peut importe se que sa tête disait son cœur réclamait la vengeance et l’oublie. D’un pas hésitant, il posa le premier dans la neige molle, puis l’autre. L’insistant à s’éloigner toujours plus. L’obligeant à pouvoir oublier. Après une bonne heure de marche, le cri de sa femme refit surface. D’un geste brusque, tira son poignard, Constant se retourna et regarda autour de lui. Un vent violent lui fit reprendre ses esprits en le ramenant à la réalité. Il ne pouvait tout simplement entendre Jayma car elle n’était plus. La nuit commençait, il devrait trouver refuge pour la nuit, s’il ne voulait pas mourir geler.

    Une tempête se leva. Un rideau opaque de neige se dressa devant ces yeux, devenant aveugle. Il crut marcher droit, mais marchait en arc. La froideur, l’enveloppa. Il commençait à avoir froid. Sentant son souffle se couper, il tendit les bras et toucha un bois lisse sous la neige. Doucement, il glissa sa main vers la droite. Sa main touchait maintenant le verre. Continuant, il fit ainsi le tour de la maison. Dès qu’il toucha la porte, Constant frappa. Une voix chaude, mais réservée lui indiqua d’entrer. L’homme tourna la poigner et entra. Assit dans un fauteuil, un vieillard fumait sa pipe près d’un bon feu. Constant demanda l’hospitalité pour la nuit. Le vieux accepta lui fessant remarquer que de toute façon, il ne pourrait aller bien loin dans cette tempête. Le vieil homme se leva de son fauteuil et se dirigea dans une autre pièce. Constant déposa son sac de toile et rejoignit l’autre homme. Celui-ci lui préparait un lit de fortune.

    « - Je vous suis reconnaissant, fit l’invité »

    L’homme lui répondit par un sourire et poursuivit sa tâche. Le vieillard lui servit un potage chaud ainsi qu’une galette blanche. Constant mangea avec appétit pour finalement s’endormir … Encore une fois ses images lui revient. Le sang, les vêtements déchirés de son épouse et tâcher par se liquide rougeâtre. Constant se réveilla en sursaut, assit sur le lit, seulement vêtu d’un pantalon, couvert de sueur, la respiration haletante … Tranquillement, il reprit son souffle et se laissa lourdement retomber sur le dos. Les yeux levés au plafond, il n’osait plus dormir. Au matin, il mit une tunique chaude et se dirigea vers la cheminée. L’invité rajouta deux bûches dans l’âtre et mit de l’eau à chauffer. Le vieillard s'était lever et sortait de sa chambre au même moment en lui demandant s’il avait bien dormit. Constant lui mentit en lui disant que oui et lui afficha un sourire. Après le premier repas, Constant partit de nouveau sur les sentiers enneigés.

    Les questions, des images, touts se bousculaient dans sa tête. Si bien, qu’il porta ces mains à celle-ci. Mais les retira presque aussitôt. Constant arrêta sa marche et posa un regard surprit sur ces moufles. Une tâche rougeâtre était sur celles-ci. D’un geste brusque, il enleva l’une d’elle et tâta son crâne. En arrière de celle-ci, il découvrit une plaie. Comment pouvait-il s’être fait telle blessure? Puis se souvient de son cauchemar, celui qui le hantait. Sentant sa main geler par des picotements, il remit sa moufle et continua sa route.

    Il avait marché jusqu’à l’aube s’en trouver la moindre demeure ou abri pour la nuit. Le gèle avait couvert sa chevelure noire. Épuisé, affamé, il se dit que sa route finirait ici. Puis, se révisa. Monter sur une colline qui surplombait un petit village, Constants fut surprit de voir tant d’agitation à cette heure. Avec prudence, il descendit et regarda la population bouger au rythme des battements de son cœur. Mais, il n’était pas le seul à regarder, à découvrir. Une jeune femme, vêtu chaudement aux couleurs du village marcha vers lui, mais l’esprit ailleurs, Constant ne la vit pas.

    « - Mon pauvre homme vous semblez épuisé. Suivez-moi! »

    Lui dit-elle en le tirant par le bras sans lui laisser le temps d’émettre sa réponse. Elle le poussa dans l’entrée de la petite demeure. Une chaleur et une odeur lui étaient familières. La jeune femme avait disparue, lorsque Constant vient pour poser le regard sur elle. Le jeune homme se dirigea vers la provenance de l’odeur. À peine sur le seuil de la porte, il ouvrit les yeux. La jeune femme assit sur un cousin à même le sol, le regard tourner vers les flammes. Les cheveux ondulaient dans son dos, les mains croisées sur ses genoux. Lorsqu’elle se rendit compte que Constant la regardait, elle tourna le regard vers elle lui fessant signe de venir s’assoir et de manger. Pendant qu’il mangeait, Maria regardait son visage pâle par le froid de l’hiver, encadrer par une chevelure noire, si foncée que la nuit en était jalouse. Son regard pétillant d’une énergie si vive, lui donnant un éclat d’un vert inimaginable.

    Doucement, elle se leva et se dirigea vers lui. Constant leva le regard vers elle, alors qu’il avait terminé. Maria maintenant devant lui, prit place sur ses jambes et déposa un baiser sur ses lèvres, puis recula pour le laisser réagir. Constant resta surpris de son geste mais ne chercha pas à la repousser tant il avait besoin de retrouver un point de repaire. Ne voyant pas de refus de sa part, elle passa ses bras autour de son cou de déposa un second baiser, celui auquel Constant répondit. Trop longtemps, il avait été privé d’une émotion telle que celle-ci. La chaleur, l’odeur d’une femme qui ressemblait a Jayma. Pour la première fois depuis sa mort, il chassa de son esprit l’image de celle-ci, la sensation des lèvres de Maria sur les siennes, ainsi que ces bras jouant sur sa nuque.


    Histoire de Dyliam

    Dyliam naquit dans le sud du royaume de Diamant. Ces terres qui se rapprochent d'Émeraude et qui nourrit tant d'histoires. Dyl ouvrit les yeux pour la première fois durant la première chute de neige alors que la lune était haute et pleine dans le ciel d'encre. Il ne fut pas l'unique enfant de cette famille. Dyliam fut toujours curieux de naissance. Même après que sa mère lui est raconter la légende des êtres, il n’y voyait pas la peur. Nathaniel, son frère aînée, le traînait avec lui dans chacune de ces sorties à moins que cela fut trop intime. Sur le haut de ces quatre ans, Dyl était loin de se douté que cette fois se n’était plus un jeu pentacle de son frère. L’enfant suivit son aîné dans le plus grand silence jusqu’à la lisière d’une rivière. Nathaniel fit signe a son frère de se baisser et de garder le silence : se que celui-ci fit sans poser la moindre question. Se matin, étrangement, avant même de partir, son grand frère lui avait fait promette de ne rien dire de se qu’il allait voir. Heureux d’avoir un secret a partagé avec lui, il avait accepté. Caché entre les hautes herbes, Dyliam regarda son frère s'avancer vers l'eau clair et se pencher au dessus de celle-ci. Curieux, l'enfant fronça les sourcils et pencha davanatage la tête. Nathaniel forma une petite boule d'eau dans le creux de sa main et l'envoya dans la direction de son jeune frère. Dyliam ouvrit grand les yeux et se retrouna les cheveux humide et glacé.

    - Pourquoi as-tu fais ça?, demanda soudainement Dyl alors qu’ils marchaient tous deux dans le sentier de terre battu.

    Nathaniel tourna finalement la tête vers lui et ne trouva pas comment lui expliquer que les légendes que leur mère racontait, étaient vraies. Un soupir vint franchir ces lèvres et passa la main sur le dessus de la tête.

    - Répond-moi Nathan!, s’exclama soudainement l'enfant.

    - Tu veux que je te réponde quoi?!? Mère avait raison Dyl, ces ‘’Légendes’’ n’en sont pas. Il va falloir toi aussi sauvé les tiens! Je ne serrais pas toujours là moi!

    [..]

    Dyliam partit peu de temps après la mort de son frère pour le royaume d'Émeraude. Il allait devenir un grand soldat et allait faire honneur a sa famille. En mettant pied pour la première fois dans un château, Dyl fut plutôt impressionner de voir autant de gens réunient dans un seul endroit. Bien sûr, on lui indiqua sa classe ainsi que sa chambre. À cinq ans, il avait déjà atteint une grande autonomie par cette libération de parents. Enfin, vint le premier cours. Nerveux pour la première fois de sa vie, il entra timide et alla s'assoier a la seule place libre; près de Rowran. Très vite, ils devinrent amis mais surtout, complice. Accumulant bêtisses par dessus bêtisses, trouvant toujours un moment pour ajouter une réplique, un jeu de mots, un geste pour faire rire. Chacun son moyen d'amusement! Plus les années passaient, plus ils devenait inséparable. On fini par se douter, qu'à l'eu deux, ils n'attiraient que des mauvais coups.
    Puis un jour, vint la cérémonie de l'honneur. Le jour, où enfin, Dyliam allait être chevalier. Bonheur, joie, extase, rien n'avait meilleur goût pour lui. Maintenant, Dyl s'accorde tout les plaisirs de la vie et ne manque pas un moment pour faire un coup pendacle a Rowran et Alas. Mais cela, c'est une autre histoire.


    Connaissances & Relations avec d'autres personnages :: Tous les chevaliers d'Émeraude et il est le meilleur ami de Rowran ainsi que d'Alasdair

    *Rang :: Chevalier d'Émeraude Première Génération


Dernière édition par Dyliam le Sam 18 Avr - 19:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Dyliam [.. Chevalier Première Génération ..]   Dyliam [.. Chevalier Première Génération ..] EmptyLun 6 Avr - 21:56

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